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  • il y a 5 jours
Maintenant que le Paris Saint-Germain est champion d'Europe en remportant le finale de la Ligue des champions 5-0 face à l'Inter, comment le foot français peut en profiter ? Le plateau de l'After Foot se demande comment Nasser al-Khelaïfi peut aussi changer la gestion du foot français, après celle du PSG.

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Transcription
00:00Ouais, je me suis mis un petit peu à rêver là, puisqu'on est dans une période où on est, enfin en tout cas ceux qui aiment le PSG, sur une sorte de petit nuage, et puis comme tout le monde déjà était dans l'adoration du grand maître, du grand Manitou, du totem Nassal Ralaifi, puisque même des gens hyper intelligents, hyper cultivés, à des postes de pouvoir se couchent devant l'envoyé spécial du Qatar,
00:27je me dis tant qu'à faire si on en profitait tous, parce que là quand on entend dans les médias, je parlais de challenge Barane dans le jingle, mais là on a Barane, Kiwi, on a toutes les boîtes à cirage qui sont sorties depuis deux jours, on a tout oublié, on pense plus à rien, et il a fait une petite allusion, vous l'avez vu cette petite allusion ?
00:46Dans l'un de ses discours là, post-victoire, on est fort, mais il faut que le football français devienne le meilleur d'Europe et tout, parce que là il est en lâchage, parce qu'il faudrait rattraper le football allemand, le football anglais, enfin bref, il était en lâchage extatique,
01:03mais bon, quand on est heureux, on ne se rend pas bien compte, et là on n'est pas encore, parce que souvent tu es très heureux le soir, et puis c'est au réveil le lendemain que tu peux avoir des surprises,
01:11là on n'est pas encore réveillé, on n'est pas encore le lendemain, on ne sait pas quand ce sera ce lendemain, mais restons dans cette nuit de rêve,
01:17et puisqu'il est à ce point heureux, et qu'il a réussi, même des années après sa mission au PSG, qui était d'être sur le toit de l'Europe,
01:26et qu'il a lui-même dit qu'il a envie que le football français en profite, et bien qu'il répare les erreurs que je souligne depuis deux ans maintenant,
01:38parce que les gens doivent également se souvenir, je sais que c'est très compliqué de se souvenir, on oublie un petit peu, on a bien transformé les phrases du tout,
01:45que je n'étais pas du tout virulent, c'était même le contraire à son égard, on va dire, période avant Covid, c'est plus ce qui s'est passé après,
01:54la politique sportive qu'il a développée, et surtout la façon dont il a traité la Ligue 1, dans la grosse farce qui a été de se mettre face à la Super League,
02:04pour soi-disant le football européen, tout en achetant ses férines et le fair play financier, tout en faisant venir ses WC par le biais de son ami Labrune,
02:14pour croquer la plus grosse partie du business, bref tout ça on ne va pas le répéter, on le sait, puisqu'il a maintenant envie là, visiblement qu'il est sur son nuage,
02:21et qu'il veut que tout le monde en profite, et bien fais croquer Nasser, fais croquer, tes deux laquais sont descendus en Ligue 2,
02:28d'avoir été trop laquais justement, et bien ils ne sont plus à côté de toi maintenant, donc tu n'auras pas moins de pouvoir au conseil d'administration,
02:35c'est encore toi le boss, et bien essaye de faire quelque chose, je ne sais pas si ça ne va peut-être pas passer par Bin,
02:41puisque Bin n'a plus envie de mettre l'oseille, mais déjà tu vas lâcher ton match que Bin a,
02:45pour qu'il y ait un diffuseur qui ait l'ensemble des matchs, pour qu'on ait une offre un peu plus intéressante,
02:51et puis tu vas œuvrer, toi, en allant voir tes amis de canal, ou je ne sais qui, puisque tout le monde est à tes pieds en ce moment,
02:58tu vas nous le trouver, le fameux distributeur, tu vas voir comment la chaîne peut se faire,
03:04Nicolas Taverno est là, il sait faire les chaînes, bref, mettez-vous en ordre de bataille,
03:08que le Qatar, j'arrête pas d'entendre depuis des années, ils sauvent le football, ils ont aidé, ils ont ceci, ils ont cela,
03:14oui, pendant un moment, ils ont mis de l'argent, un peu plus pour leurs intérêts, avec les intérêts de tout le monde,
03:19mais néanmoins, il faut quand même dire qu'ils ont été là, surtout au début, avec Bin,
03:25ils ont lâché, ils n'ont plus pensé qu'à leur gueule depuis 3-4 ans maintenant, et bien on y va maintenant, on y va,
03:30allez, relançons le football français, que tout le monde en profite, que tout le monde profite de cet état d'esprit,
03:35se servent de l'exemple du PSG, avec des équipes qui courent partout, qui sont collectives,
03:40on essaye de réinjecter un petit peu d'oseille en trouvant, je le répète, un distributeur,
03:44bref, allez, on y va, on y va, Nasser, je te prends au mot, puisque c'est toi-même qui l'a dit,
03:48déjà, tout ce qui se passe depuis 6 mois est positif, tout le monde a changé son discours,
03:53on n'est plus arrogant, on est sympa, l'équipe elle est sympa, même ceux qui n'aimaient pas trop le PSG
03:57ont au minimum un peu de sympathie pour, tout ça c'est très positif, moi je suis très content de tout ça,
04:03le seul truc qui me bloque encore un peu, c'est l'état du football français,
04:06parce qu'un seul club ça ne sert à rien, donc on y va, allez, comment on dit, chiche, c'est un truc comme ça ?
04:12Sur la politique sportive qu'on parlait, il a été capable de se réajuster, ça a mis du temps.
04:17Comme Louis-Henriquet, comme le PSG, comme tout le monde, c'est très bien,
04:20tout le monde peut se réajuster, et c'est très bien, et c'est très bien, ça a été fait,
04:26oui, enfin, il s'est réajusté, il a mis le temps un peu quand même.
04:29Oui, ça a mis du temps, mais finalement, Julien en parlait tout à l'heure,
04:31ils ont mis autant de temps que Manchester City à l'a gagné.
04:34Chiche, ok.
04:35Oui, enfin, si tu veux.
04:37Ce qui est intéressant là, c'est qu'il y a une ouverture, puisqu'il n'aura plus les mêmes interlocuteurs,
04:41parce que maintenant, c'est Philippe Diallo qui est le patron,
04:43il aura Nicolas Taverneau comme représentant de tout ce qui est business,
04:48bon, donc, sachant que le paysage a quand même changé en quelques semaines.
04:51Il a perdu ses trois laquais.
04:53Bon, donc, il peut se...
04:55Non, mais, je veux dire, soyons positifs, quoi.
04:57C'est ce que j'ai fait de faire.
04:59De facto, la victoire de Paris en Ligue des Champions est une bonne nouvelle pour le foot français,
05:02pour la valorisation du foot français.
05:03La vérité, ne nous méprenons pas, je n'étais pas ironique.
05:07Je le prends au mot, parce que c'est lui qui m'a parlé.
05:09C'est lui qui a sorti cette phrase-là.
05:10Moi, je suis toujours pour que...
05:12Je dis toujours, on peut changer, on peut évoluer,
05:14on peut se rendre compte des choses, surtout.
05:16Il s'est rendu compte de certaines choses.
05:18Eh bien, écoute, continuons.
05:20Allons-y.
05:20C'est déjà, il y a déjà un signe.
05:22C'est que si Bihine est prêt à lâcher le match de Ligue 1 qu'il a pour la future chaîne,
05:25c'est déjà un signe, on va dire,
05:27que, voilà, des quatre années qui vont vers le...
05:30On sait que ça a été évoqué.
05:31Vers l'intérêt général.
05:32On sait que ça a été évoqué.
05:33De toute façon, en matière de sport,
05:36c'est un business un peu particulier.
05:38Il faut qu'il y ait une concurrence.
05:40Écraser la concurrence, ça n'est pas bon.
05:42Il faut qu'il y ait quelque chose, ça relève le niveau et tout le monde en profite.
05:45Là, pour le coup, oui, tout le monde en profite dans le business du sport.
05:49Quand il y a des rivalités, quand tu as de la concurrence,
05:52il a mis beaucoup, beaucoup, beaucoup de temps à le comprendre.
05:55S'il le comprend, aucun problème.
05:56Je suis là, je suis là pour prendre les notes et pour dire que c'est génial.
06:01Mais on ne l'a pas vu encore.
06:02En fait, là, comme tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil,
06:05effectivement, on peut en rêver, on peut penser que Nasser Al-Arafi va évoluer.
06:11Moi, je pense que j'ai vu aussi, chez lui, beaucoup d'esprits de revanche.
06:16J'ai vu deux, trois remarques, des journalistes.
06:21Parce que voilà, je l'ai vu très, très, très exposé.
06:24C'est-à-dire, il a volontairement pris beaucoup les devants en descendant de l'avion, au parc.
06:29Il a vraiment voulu montrer que c'était aussi sa victoire.
06:32Et il faut le reconnaître.
06:33Tu trouves ?
06:33Non, mais je pense que j'ai analysé.
06:35Je veux dire, là, c'est factuel.
06:36Je n'ai pas d'avis là-dessus.
06:38Parce qu'après tout, il a le droit de prendre sa part.
06:41Oui, on ne voyait pas moins Bernard Tapie après la victoire de l'Auf en 1993.
06:45Tout à fait, mais il n'a pas fait le côté Louis-Henriquet, t'as vu, à l'Élysée, qui dit je me mets derrière Campo, je ne veux pas apparaître, je ne veux pas voler le truc aux joueurs.
06:52Il a pris sa part.
06:52Il est resté bien à côté.
06:53Il est resté devant avec Marquinhos.
06:54Et Louis-Henriquet, à chaque fois, qui lui demandait, il dit non, vas-y, vas-y, profite.
06:58C'était plutôt ça.
06:59Donc, il y a une volonté de profiter, de montrer qu'il a réussi.
07:02Il a dit, j'ai vu cet échange avec un journaliste en disant, vous avez vu, vous n'y croyez pas, mais on l'a fait.
07:07Donc, il y a quand même...
07:07Comment tu comprends ? On peut faire une part.
07:09Non, je termine parce que je pense que c'est un peu lié.
07:12J'aimerais bien qu'on revienne également sur ça.
07:14Et sur ceux qui sont toujours revanchards dans la victoire, j'ai fait mal avec ça.
07:17Non, à la limite, quand on a pris plein la gueule, je ne parle pas de lui, je parle en général, tu sais, tu vois Jacquet, par exemple, à la fin de 98.
07:24Mais je n'ai jamais compris, Jacquet.
07:26Non, non plus.
07:26Je n'ai jamais compris.
07:27J'avais adoré le bouquin de Vincent Duluc qui avait parlé de ça.
07:30Comment, dans la plus grande victoire de ta carrière, de l'histoire du foot français à ce moment-là, les premiers mots que tu as, ils sont pour les journalistes de l'équipe.
07:37C'était meurtri, tu as été touché profondément, Jacquet a joie et tellement profonde.
07:41Pourquoi c'est de la haine que tu...
07:42Pourquoi tu transformes ça en ressenti ?
07:44Daniel, tu as bien vu Jacquet, pour bien le connaître.
07:48C'est un mec exceptionnellement gentil et un mec, tu vois, fondamentalement bon.
07:53Et effectivement, il a eu cette réaction de colère, de haine, entre guillemets, en première réaction.
07:59Je me dis juste, moi, je n'ai pas vécu ce qu'il a vécu, même si je pense que ce qu'il a vécu comme Deschamps en 2000,
08:04ils ont fantasmé ce qu'ils ont vécu, c'est-à-dire qu'ils ont fantasmé la haine qu'ils pensaient qu'on leur portait.
08:12Ils ont fantasmé un complot, ils ont fantasmé un complot qui n'existait pas.
08:15Oui, après, le monde du sport se nourrit souvent de ces choses-là, de ce que disent les médias, des critiques, ça leur permet de se mobiliser.
08:21Les coupures de presse affichées dans les vestiaires, aujourd'hui, ça n'existe plus.
08:24Après, Jacquet, il y a un point, un point.
08:26Ici, il y a mal à en parler sur Rabiot avant l'Euro, il en parlait en conf encore aujourd'hui.
08:29Il disait, on m'a rapporté les propos qu'il y avait eu Rabiot sur moi juste avant le match français.
08:34Il y a un point quand même sur...
08:36Il rapportait, mais tu n'as pas le borseau de journal collé dans le vestiaire.
08:38Il ne va pas la finir, ça fera plus que moi, Flo.
08:41Il y a un point important, je pense que Jacquet, c'est le mépris de classe dont il pensait avoir été victime.
08:45Et ça, c'est un truc...
08:46Non, mais ce truc-là, fondamentalement, quand on l'a pris pour un plouc, un bouseux et un moins que rien,
08:51il a dit ça, non.
08:53Ça, ce n'est pas possible.
08:54Bon, voilà, ça, c'est pour Jacquet.
08:54Moi, ce qui m'étonnait, c'était le timing.
08:56C'est-à-dire qu'au moment où tu célèbres, et c'est comme Nasser l'autre soir,
09:00au moment où tu atteins cette sorte de Graal, que ce soit ça que tu es en toi, à ce moment-là,
09:05je ne sais pas si je l'aurais peut-être le lendemain, le magasin...
09:08Surtout qu'on est dans un monde où...
09:11Comment veux-tu, en fait ?
09:12Dans le monde du sport, il y a un truc qui m'étonne, c'est ne pas comprendre que la critique, c'est normal.
09:17Comme en politique, comme en tout.
09:19Que un jour, ça va, un jour, ça ne va pas.
09:21Et qu'il y a des gens qui sont là, mais les premiers critiques, c'est les supporters.
09:24À part les teubés qui veulent tout le temps que tout soit rose et qui regardent les chaînes de club et tout.
09:29Mais les premiers critiques, c'est les gens qui vont au stade et qui disent
09:32« Ah, lui, il est nul aujourd'hui. Ah, il a tout raté ce soir. Ah, mais c'est quoi ce coach ? Ah, mais c'est ceci, cela. »
09:37Même si c'est les mêmes qui, après, disent « Ah ouais, toi, ce que tu avais dit, machin et tout. »
09:41Mais tu ne peux pas dire que la critique est normale d'un côté et pas accepter la réponse à la critique de l'autre.
09:44La réponse à la critique aussi, c'est normal.
09:46Je l'accepte, mais c'est, dans un premier temps, eux ne veulent pas comprendre que, de toute façon, c'est tout à fait normal.
09:51Ça n'existe pas de ne pas critiquer. Tu critiques un homme politique.
09:55Quel sportif n'a pas été critiqué ? Tous, même les plus grands champions.
09:59Les plus grands champions de l'histoire, même ceux qui ont gagné, qui n'ont pas gagné.
10:02À un moment ou à un autre, il y a des discussions autour de la performance.
10:05« Et t'aimes un tel, et t'aimes pas un tel. »
10:06À un moment, je me souviens, même Prost-Sénat, on faisait passer Prost pour un garagiste par rapport à Sénat.
10:12Et on a eu les mêmes trucs avec Ronaldo, Messi, je ne sais pas, Mbappé, qu'on fait passer pour une quiche, limite, qui n'a même pas le niveau national.
10:20Des critiques sur des grands sportifs, il y en a des tonnes, quoi.
10:23Et là, le premier mot de Nasser, à ce moment-là, c'est « Ouais, toi, t'as dit ça, machin. »
10:28Pour être honnête, ce n'est pas le premier mot, Nasser.
10:30Il a aussi kiffé, puis à un moment donné, il a sorti ça, un journaliste.
10:34Après, dans l'ensemble, excusez-moi, je n'ai pas entendu de joueur dire ça, alors que, effectivement, le PSG, il y a six mois, était dans un état qui n'était pas celui d'aujourd'hui.
10:44Non, non, c'est vrai que l'ambiance était plutôt très positive.
10:47Non, non, ça, oui, c'est vrai.
10:49Et d'ailleurs, non, mais ils ont aussi ressenti...
10:50Il ne faut pas juste retenir une sortie isolée, quoi.
10:53Non, mais ils ont vécu, ils ont kiffé, parce que, de fait, la France les a plutôt aimés et appréciés, en plus, donc ils n'ont pas été très kiffillés.
11:00Mais pour revenir à Nasser, le réaffier à ce que tu disais, à ton envie de changement par rapport à la gouvernance du foot,
11:07moi, je ne crois qu'au rapport de force, et je pense que Nasser ne croit qu'au rapport de force, et au rapport de force un peu vicié.
11:13Un rapport de force où, en gros, tu as la main et tu as déjà gagné le bras de terre.
11:15Moi, j'avais une vision idéalisée, tu as une vision réaliste, je pense que c'est ça.
11:18Et la vision réaliste, elle peut quand même aller dans ton sens, c'est que ce rapport de force, comme disait Gilbert, il est en train de changer.
11:24Ce n'est pas pareil d'avoir l'État, entre guillemets, en face de toi, enfin, entre guillemets, les sénateurs,
11:28ce n'est pas pareil d'avoir Diallo et le président de la FED en face de toi,
11:31plutôt qu'un allié qui n'est pas vraiment un homme de pouvoir, en l'occurrence la Brune, et qui était dans le camp de Nasser.
11:36Donc, moi, je ne crois qu'au rapport de force.
11:38Je pense que ces gens-là peuvent expliquer froidement et en mettant la pression,
11:44et y compris Taverneau par rapport à l'offre que tu peux avoir pour ton média,
11:47que la clé de répartition, c'est l'enjeu.
11:50Et que si Nasser El-Ralifi veut continuer à faire vivre son projet, il va être obligé de faire différemment.
11:58Mais seulement parce que le rapport de force a changé, pas parce qu'il est content d'avoir gagné la Ligue des Champions
12:02et qu'il va se dire, maintenant, j'ai atteint mon objectif et je vais être sympa avec tout le monde.
12:06Ça, non, ça n'existe pas.
12:07Lui, au contraire, c'est pour ça que je parlais du côté un peu revanchard avec les journalistes,
12:11parce que je pense que lui, il veut quand même continuer,
12:15et pour les Parisiens, c'est très bien, d'écraser l'Europe,
12:18d'essayer de gagner une deuxième Ligue des Champions et continuer à le faire en France.
12:23Maintenant, le rapport de force est en train de changer.
12:25Il a fallu toucher le fond de la piscine pour ça.
12:28Et ça, en revanche, ça peut changer les choses parce qu'il n'aura pas les mêmes interlocuteurs.
12:31Si je sors de la vision idéalisée, et comme je ne pensais pas,
12:36Lucien Riquet capable d'adaptation et trop dogmatique,
12:38j'espère me tromper également sur Nasser qui va pouvoir changer,
12:41mais mon a priori, c'est quand même que c'est un mec qui est très autoritaire
12:43et que tu auras du mal, même la façon dont ça s'est passé avec la mairie de Paris,
12:49ce n'est pas vraiment normal.
12:50Tout le monde sait, je ne suis vraiment pas le fan club d'Anne Hidalgo,
12:57mais à placardiser la maire de Paris qui a toujours montré qu'elle aimait le PSG,
13:01elle venait et tout ça, moi je suis que dans les grandes victoires,
13:05c'est le moment des grandes réconciliations, des choses positives pour construire,
13:10pour construire sur les grandes victoires.
13:11Je n'aime pas les revanches et l'exclusion dans la victoire.
13:15C'est les visions, chacun voit la vie comme il a envie de la voir.
13:18Moi je pense que quand tu gagnes, tu dois rassembler.
13:20Tu dois dire, on a eu des moments difficiles, ça s'est mal passé,
13:23on s'est embrouillés, oui ils se sont embrouillés,
13:26ils buvaient le champagne ensemble, elle n'a plus le droit de venir,
13:29c'est comme ça.
13:30Mais il y a des gens qui ne sont pas comme ça.
13:32On a vu Louis-Henriquet avec la journaliste de 2016,
13:35il s'est souvenu de ce qu'elle avait dit, il l'a mis tricard,
13:38et j'espère vraiment me tromper que Nasser ne fera pas ça,
13:41mais c'est vrai qu'il a quand même placardisé à Nidalgo,
13:43tu ne viens pas à la fête, on ne va pas à la mairie de Paris,
13:46tu n'existes plus, elle a fait une sortie aujourd'hui en disant
13:48que le stade, les travaux c'est ok, mais on ne le vendra pas.
13:54On va y revenir.
13:55Les positions n'évoluent pas.
13:57J'espère, mais j'ai un doute quand même.
14:00C'est sûr que le Nasser qu'on avait dans la Visio 2 cet été,
14:05c'est sûr que celui-là, c'est le vrai Nasser.
14:07C'est un autoritaire, il est d'une culture autoritaire.
14:10Voilà, c'est comme ça.
14:11Le Nasser-Jambière-Jambière.
14:13C'est un autoritaire, c'est un autoritaire.
14:16Il n'agit pas de la mairie de Paris,
14:17il est un autoritaire.
14:18Il n'agit que lecur, il n'agit pas de l'encontrement,
14:19il n'agit pas d' knot,
14:21il n' sótrait pas de..
14:22Le Nasser-Jambière.
14:23Il n'agit des pêcheaux des homm shouldn changement.
14:25Il n'agit pas de dest葉,
14:25l' gì ?
14:28Que Ehalth ?
14:28Pour le Nasser-Jambière.
14:30Il n'int prodé.

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